audio

*zUIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii*

Hier, j’ai enfin reçu mon cadeau d’anniversaire : Ce bestiau, l’air de rien, revolutionne purement et simplement l’art de DJ’er. Pour faire simple, il permet, associé au logiciel (propriéraire jusqu’à l’os -ah-ah jeu de mots-) du même éditeur (forcemment), de “mapper” des fichiers son (essentiellement des mp3 issus de Beatport) (oui je sais il y a beaucoup de parenthèses dans ce post, il est tard) sur des médias timecodés. vendus, je vous le donne en mile: par le même éditeur.

Front de Liberation du SON

Comme je le disais il y a quelques jours sur GCU, les sirènes d’OSSv4 me charment depuis quelques mois, épuisé que je suis de me battre avec les differents framework sonores “““modernes””” apparus sous GNU/Linux depuis quelques années. Et bien ça y est, j’ai sauté le pas. Et comme prévu, ce passage est une véritable sinécure. Résumé des opérations : Et c’est tout. Si. Pas de vim .asoundrc aux conditions délirantes, pas de “perfect setup” aux 1001 actions, non, juste ça marche.

plus de SON

Nouveau joueeeeeet ! Cette année, le Père Noël m’a apporté ça : Une console de mixage Behringer DJX750. 4 pistes, multi-effets (la fonction reverb est bluffante), superbe toucher, du bon matos à pas si cher. Ainsi, mon NC10 possède désormais une partition OSX qui sert à faire tourner Traktor DJ Studio qui, soyons francs, ne trouve aucun équivalent dans le monde libre. Ce dernier est donc raccordé à la piste 4 et controlé par ma vieille console Hercules DJ Conltrol MP3, ce qui me permet de réaliser des mashups et autres boucles du plus bel effet.

M-Audio Keystation 49e: trop dur.

Ça y est, j’ai craqué. À force de faire du duz-duz et que tous les musicos de mon entourage me le suggèrent à longueur de journée, j’ai acheté ça : Il s’agit d’un clavier MIDI tout ce qu’il y a de plus basique, et surtout, à pas trop cher. Je m’attendais évidemment à galérer comme pas deux pour faire reconnaitre le bestiau sous GNU/Linux. Voici la marche à suivre :

Daft machine

Au-se-cours. Hier soir, alors que je me rencardais sur DSSI (un API pour créer des plugins audio à la VST), je suis tombé sur ce lien. FST n’est ni plus ni moins qu’un programme qui permet, en utilisant Wine et JACK d’utiliser des plugins VST sous GNU/Linux. Là comme ça, ça a l’air de rien, mais les musiciens dans l’assemblée, s’ils ne sont pas déjà au courant (le projet date de 2006 tout de même), devraient faire dans leur froc.

Carte son par defaut

Pour ne plus avoir de soucis de monopolisation de carte son par JACK, j’ai ajouté une carte dans ma machine principale et l’ai intégralement dédiée à cette utilisation. Problème, fonction de l’ordre de chargement des modules lors du boot de la machine, cette derniere est tantot associée en Card 0, tantot en Card 1. On trouve la solution à ce problème sur le Wiki d’Alsa, et plus particulièrement dans le topic MultipleCards.

Jack to the sound

Dans la serie des trucs qui marchaient très bien avant et qui se sont mis à merder depuis héron boiteux, j’appelle à la barre Jack, cet incroyable bout de soft permettant de brancher des applications sonores ensembles et d’en réduire la latence. En effet, depuis quelques mois, le son provenant d’une application que je faisais passer par Jack grésillait inéxorablement. Gresillement / saturation, difficile de cerner le soucis et d’en rechercher la cause.

"make your own kind of music"

Il y a bien longtemps, lorsqu’un Amiga 1200 ornait mon bureau, je m’essayais à la composition (encore que le mot “composition” soit bien présomptueux ici) à l’aide de differents Trackers, rappelez-vous, Protracker… Depuis ces temps réculés, devant le manque cruel de temps et d’applications séduisantes, je ne m’étais pas réessayé à la “composition”. J’avais essayé SoundTracker, un équivalent des softs d’antan pour Unix, mais je n’avais finalemnet pas accroché. D’autre part, les logiciels ultra-complets (et complexes) du type Ardour me semblaient impossible à dompter en une soirée.

Un sonotone pour le Héron Boiteux

Dans le dernier épisode, nos héros n’arrivaient toujours pas à lire plus de 2 videos flash d’affilée avec Firefox sans que ce dernier ne se vautre comme une merde, la faute à MoisiAudio. Comme on peut le constater sur ce suivi de bug launchpad, ça concerne un peu de monde. Pour résumer, c’est pas gagné. Enfin pas pour le Héron Boiteux en tout cas. Mais on a bon espoir que d’ici Avril 2009 on ne passe plus pour des charlots quand un pote voit qu’“avec ton Linux présumément stable tu peux même pas matter deux videos youtube sans que ton navigateur crashe mOUAhahaha” - “oui mais c’est paske y’a pulseaudio qui… nan rien.

Bien joué, Héron boiteux

Y’a eu des erreurs dans Hardy, rien d’irrécupérable a priori, sauf une: MoisiAudio. J’étais déjà pas bien fan des flans Aslsa et de leur conf’ imbitable, mais pulse là, c’est le summum. Evidemment, j’ai été m’inspirer du limite rigolo “PulseAudio Perfect Setup” et ses 4000 conditions (pour flash, faites ça, pour les jeux, ça, pour amarok, ça, pour audacity, ça etc…), mais comme on peut s’y attendre, y’a des cas non couverts, et de toutes façons, cela ne résoud aucunement, par exemple, les problèmes (connus !