pkgin

NetBSD comme environnement de travail

NetBSD 5.0, je vous en ai rabâché les oreilles: et que t’y crois pas comme c’est rapide, poh poh poh comment y’a trop des features conviviales et oulala mais woua comme c’est sexy que t’emballes trop en soirée avec ton 5.0 shiny. Des articles en ligne en passant par la serie “à la découverte de NetBSD” rondement menée par la fine équipe de NetBSDfr, on vous en sert à tous les repas.

pkgin has gone mainstream

Enfin ! Evidemment, j’attendais cette release depuis un certain temps, car c’est la première apparition de pkgin sous forme binaire dans les packages officiels :) La conséquence immédiate, c’est qu’un simple : suffit à installer le gestionnaire sur sa machine, dépendance (SQLite) incluse. La conséquence moins immédiate, c’est qu’en théorie ma INBOX risque de se remplir de Subject: PR for pkgin…

Pkgin dans GLMF

And voila ! Vous trouverez dans le numero de Juillet/Aout un article préparé par mes soins sur les méandres du developpement de pkgin. Bientôt dans les kiosques.

pkgin-0.2.5 atterrit dans pkgsrc !

Et voila, après 3 mois de développement, la première version publique de pkgin est disponible. Publique car non plus disponible uniquement via CVS ou pkgsrc-wip mais également dans l’arbre officiel pkgsrc, ce qui en fait un candidat potentiel pour pkgsrc-2009Q2. Comme on peut s’en douter, le développement est loin d’être terminé et la TODO s’allonge jour après jour, mais après quelques semaines de tests réels sur diverses plateformes, l’outil semble prêt à être utilisé à plus grande echelle.

snprintf(surprise, BUFSIZ, "prout%s", surprise);

Cet après midi, j’ai eu une mauvaise surprise. Je fus en effet étonné de constater qu’en compilant pkgin sous GNU/Linux, les appels du type : tronquaient a avec uniquement unechaine. Evidemment, mon premier reflexe fut de blâmer GNU/Linux puisque ce code passait sans aucun soucis sur NetBSD, DragonFly BSD et même Solaris. Et pourtant. C’est gl qui m’informa que ce document issu de l’ISO et l’IEC explique clairement que le fait d’appeler snprintf() de la sorte rendait le résultat “imprévisible”.

Work In Progress comme on dit

Oui je sais, je parle que de ça. Mais c’est comme ça, je suis un obsessionnel. Pkgin, vous l’avez peut-être vu sur GCU, a fait son entrée dans pkgsrc-wip. Depuis mon dernier post, beaucoup de fixes sont venus corriger des problèmes avérés ou potentiels, en majeure partie grace à mes testeurs chevronnés. Je pense que la version de ce soir, 20090517, marque une nouvelle étape dans l’évolution de mon apt wanabee, je commence enfin à m’attaquer à des aspects d’ordre “usability”, comme par exemple le fait de ne pas recharger la base si le mtime du pkg_summary(5) distant n’a pas changé, et m’assurer que l’outil est réellement utilisable sur des machines vierges.

mv pkg_dry pkgin

Aujourd’hui, mon stress-o-meter a été mis à rude épreuve. Après plusieurs semaines de développement, j’ai fini par soumettre le résultat de mes travaux aux autres développeurs NetBSD. Et le résultat fut probant. J’ai fatalement reçu pas mal de feedback, d’idées et des pistes pour le futur de mon apt-like, mais tous étaient unanimes sur un point: pkg_dry, comme nom, ça craint. Je n’étais moi-même pas bien satisfait de ce nom que j’avais trouvé un peu par dépit, constatant que l’idée initiale, pkg_get était déja prise.