Well, it’s that time of the year again, next week I’ll be flying to my beloved Ibiza.
Being an Internet/IT junkie, I don’t exactly “disconnect”; actually I like to read / dig / test some new topics while on holidays (and while I’m not at the beach / clubbing / sunbathing). So every year I go through a particular “checklist” in order to be sure I can connect to the Internet no matter what, here’s the list as of now:
Ibiza
Like every year, my trusty Fonera 1 running OpenWrt Kamizake repeats the nearest signal to my Hotel room. Until now, my lovely Sol Bahia had an open WiFi access, which was trivially configured in OpenWrt, but this year, they changed their access point to a Zyxel Prestige 650HW-33 (don’t ask) which is “secured” (yeah, right) with WEP. Why am I writing an article about this? because I tend to never use WEP and forget how to configure it on my router everytime.
This is Tanit, a Phoenician goddess, and Ibiza island protector (-500 B.C.): This is “el Indalo”, the official symbol of my mother’s hometown of Almeria, Spain (-2500 B.C.): Disturbing.
Cette année je change un peu les habitudes, uniquement pour des raisons pratiques. Les rares lutins qui suivaient mes aventures annuelles à Ibiza devront le faire sur mon compte Google+, car ma connexion au ternaite est tellement merdique qu’uploader n’importe quoi d’ici me prend des heures. Aussi, je laisse faire l’Instant Upload de mon mobile qui s’occuppe de transférer mes videos / images lorsqu’il tombe sur une connexion digne de ce nom.
Ready.
Le 6 Juin 2011, c’était l’opening des soirées Masquerade Motel de la Swedish House Mafia, au Pacha d’Ibiza. Et j’y étais.
18:30 - En route pour San Antonio, direction le mythique Café Mambo ou aura lieu la pre-party du trio, on remarquera Flaix en fond sonore…
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19:00 - À la terrasse du Café del Mar nous observons les préparatifs, mais surtout, nous achetons les précieuses places pour le Pacha.
“début juin à Ibiza, c’est calme quand même”(c)
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Je posterai les autres vidz à mon retour, j’ai un link de merde.
Le retour de l’île est toujours un moment difficile. Lorsqu’on a passé deux semaines dans la joie, la fête, parmi les siens, baigné dans une culture aux antipotes de la jérémiade permanente, revenir au pays qui a fait de la plainte son leitmotiv est psychologiquement très angoissant. Une conséquence de cette aversion, c’est que pendant plusieurs semaines, je serai totalement imperméable, voire volontairement réfractaire à l’information politique et sociale. Cette façon de présenter l’actualité, plaintive à outrance, me fatigue et n’aide pas à l’atterrissage en douceur tant le choc culturel est immense.
Et voila, c’est la dernière. Mon dieu que ce fût court.
Avant-hier soir, David Guetta nous a honorés d’un set absolument phénoménal. digne du Queen de la Grande Époque. Comme le disaient mes compagnons de fête, c’est à croire qu’il a mal vécu son déclassement en faveur de la Swedish House Mafia. Une fois encore, on ne capte absolument pas le son qui passe, mais on juge assez bien de l’ambiance de feu du Pacha à son arrivée.