Tout commence la semaine dernière, un innocent freelance que nous faisons bosser sur un projet secret de domination des informations galactiques me montre son boulot et ne résiste pas à l’envie de me montrer des bouts de code. Je ne manque pas de remarquer que son éditeur de texte ne ressemble à rien de connu, mais brille par sa simplicité et son élégance. Il m’annonce fièrement qu’il travaille sous Sublime Text 2.